Publicis crée un fond d’amorçage de start-up

Publicis crée un fond d’amorçage de start-up

Le troisième groupe mondial de communication, qui s’était associé en mars 2012 à Orange dans le cadre du fonds Iris Capital (doté de 150 millions d’euros) pour investir dans le numérique, a annoncé la création d’une plate-forme pour prendre des tickets minoritaires dans les jeunes pousses, notamment en phase de lancement. Selon « Business Insider », il aurait créé un fonds dédié, doté de 10 millions d’euros.

L’ambition de ce projet : sélectionner, parrainer et financer les « 90 projets ou start-up les plus prometteurs » dans l’univers numérique. Les dossiers déposés en amont sur la plateforme publicis90.com auront été présélectionnés par les employés du groupe, qui seront appelés à voter, avant d’être retenus ou non par un jury international.

Le concours est orchestré sur un plan mondial, région par région. A l’arrivée, Publicis s’engage à faire bénéficier les lauréats d’un investissement compris entre 10 000 et 500 000 euros, selon le degré de maturation des projets. Ils bénéficieront aussi d’un appui de Publicis sur le plan du marketing, de la communication, du management et de la technologie. Ceux portés par des collaborateurs du groupe pourront aussi profiter d’un dispositif spécifique d’incubation.

Source : https://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/021628899853-publicis-cree-un-fonds-damorcage-1193263.php

 

Obligations d’information du personnel en matière de reprise d’entreprise

Obligations d’information du personnel en matière de reprise d’entreprise

La loi 2014-856 du 31 Juillet 2014 relative à l’économie sociale et solidaire, dite la « loi Hamon », a imposé aux entreprises de moins de 250 salariés deux obligations d’information de son personnel en matière de reprise d’entreprise. Le dispositif a été modifié par l’article 204 de la loi pour la croissance et l’activité (« loi Macron ») qui est entrée en vigueur le 1er Janvier 2016.

La loi Macron a restreint le champ d’application du dispositif d’information : l’obligation d’informer les salariés ne s’impose plus pour toutes les cessions d’entreprise (donation, échange, apport, ect) mais qu’en cas de projet de vente de l’entreprise.

De plus, à compter du 1er Janvier 2016, la sanction applicable en cas de non-respect par le chef d’entreprise de son obligation d’information, est une amende civile d’un montant maximal de 2% de la vente, et non la nullité de la vente comme cela était convenu dans la loi Hamon.

La loi du 31 Juillet 2014 impose également aux PME de fournir à leurs salariés, tous les 3 ans, une information générale sur les possibilités et conditions de reprise d’une entreprise. On parle alors de l’information triennale des salariés. Cette information doit être transmise en réunion. La loi Macron a complété le dispositif afin que les salariés soient davantage sensibilisés aux réalités économiques et financières de leur entreprise. Le décret du 4 Janvier 2016 détaille le contenu de cette information et les modalités de transmission d’entreprise, ces dispositions entrant en vigueur le 6 Janvier 2016.

Source : https://m.fusacq.com/buzz/les-salaries-informes-de-la-vente-de-leur-entreprise-a-compter-du-1er-janvier-2016-a111491.html

2015 : Une année record pour les fusions et acquisitions

2015 : Une année record pour les fusions et acquisitions

Thomson Reuters a calculé un volume cumulé de transactions de quelque 4 600 milliards de dollars en 2015. C’est 41% de plus qu’en 2014 et c’est supérieur à l’activité de 2007, une année pourtant restée dans les annales pour son nombre d’opération d’acquisition et de cession juste avant la crise financière.

Ce mouvement de hausse est porté par deux lames de fonds. C’est d’abord l’abondance d’argent qui a facilité les opérations de reprise d’entreprise. Les liquidités déversées par les banques centrales ont permis aux entreprises d’emprunter beaucoup et pour peu cher. Mais cela a aussi soutenu les cours de bourse, et donc les valorisations des actions éventuellement utilisées pour payer des acquisitions. Un contexte qui a autant servi les industriels, les fonds d’investissement et les cabinets de conseil en fusions et acquisitions toujours très actifs. L’autre clef des opérations réalisées est stratégique. Si la planète finance a été dopée par les politiques des banques centrales, la réalité du terrain est souvent moins favorable. La croissance mondiale a connu des jours meilleurs, et elle est inégalement répartie. C’est donc par la croissance externe que les grands groupes vont souvent chercher un supplément d’activité qu’ils peinent autrement à trouver.

Source : Le figaro – Economie – Lundi 28 décembre 2

Carmine Capital partenaire de Paris Pionnières

Carmine Capital partenaire de Paris Pionnières

Carmine Capital est partenaire de Paris Pionnières à l’occasion de son 1er DemoDay.

Le 8 mars 2016, Paris Pionnières organise son 1er DemoDay dans son nouvel espace 35 rue du Sentier Paris 2e. De 9h à 11h30, 11 start-ups issues de la promotion 2015 et d’anciennes promotions en 2ème levée, ainsi qu’une startup new-yorkaise du programme French Tech Ticket, seront présentées.

Catégories : #IoT, #Big Data, #Educational Tech, #Marketplace, #Transports, #Art 2.0, #Sport, etc.

Créé en 2005, l’incubateur Paris Pionnières accompagne les femmes entrepreneures à tous les stades d’avancement de leur start-up. Cette plateforme d’innovation des femmes entrepreneures est une association loi 1901 qui contribue à transformer la société en aidant les femmes à prendre leur place dans le monde de l’entreprise et de l’innovation.